Tarn (81)
Les 6 bonnes raisons de s’équiper d’une pompe à chaleur air/eau dans le Tarn (81).
L’installation d’une pompe à chaleur air/eau dans le Tarn semble être un bon plan. Mais qu’en est-il exactement ? Greentravaux répond à vos interrogations.
Raison n° 1 : c’est un mode de chauffage propre.
La pompe à chaleur air/eau dans le Tarn utilise l’énergie de l’air pour chauffer l’intérieur de votre habitation. Comme l’air est inépuisable et renouvelable, la pompe à chaleur air/eau est un mode de chauffage particulièrement écologique. Installer une pompe à chaleur permet donc d’adopter une démarche plus éco-citoyenne en ne produisant plus de gaz à effet de serre. Le bilan carbone de votre habitation s’améliore et cette dernière prend de la valeur.
Pour en savoir plus sur le fonctionnement d’une pompe à chaleur air/eau dans le Tarn
Raison n° 2 : c’est une façon de faire des économies importantes.
En consommant les calories présentent dans l’air même en plein hiver, la pompe à chaleur air/eau dans le Tarn, a un rendement très élevé. En effet, bien qu’elle utilise un peu d’électricité pour faire fonctionner son compresseur, elle produit pourtant plus d’énergie qu’elle n’en consomme. Par exemple, pour 1 kWh d’électricité consommé, la pompe à chaleur restitue 3 kWh sous forme de chaleur. Ce rapport de 1 à 3 peut selon les modèles être encore plus intéressant, avec des COP (COefficient de Performance) allant jusqu’à 5. Vos factures de chauffage s’allègent considérablement.
Raison n°3 : c’est une solution de chauffage autonome.
Pas besoin de recharger régulièrement en bûches comme dans le cas d’un chauffage au bois, la pompe à chaleur air/eau fonctionne seule, sans votre intervention. La chaleur souhaitée se fixe au degré près sur le panneau de contrôle. Vous gagnez en confort tout au long de la journée, tout l’hiver.
Raison n°4 : c’est une installation qui ne nécessite pas de gros travaux.
La pompe à chaleur air/eau se raccorde directement au chauffage central existant (radiateur, plancher chauffant…). Inutile de changer les appareils de distribution de la chaleur, la pompe à chaleur air/eau s’adapte immédiatement. Elle est donc vivement conseillée en rénovation afin d’éviter de coûteux travaux d’installation d’un nouveau mode de chauffage.
Pour en savoir plus sur l’installation d’une pompe à chaleur air/eau dans le Tarn
Raison n°5 : c’est un investissement vite rentabilisé.
En fonction du modèle choisi, de la surface à chauffer et du niveau de confort souhaité, une pompe à chaleur air/eau coûte environ 65 € à 90 € TTC par m2 pose comprise. Cela revient, à titre d’exemple, entre 7 800 € et 11 000 € TTC pour une habitation de 120 m2. Même si ces montants peuvent paraître élevés, il faut prendre en compte les économies réalisées sur les factures de chauffage sur le long terme. Dans ce cas, la rentabilité est atteinte en moyenne au bout de 6 ans.
Raison n°6 : c’est un équipement aidé financièrement par l’État.
Afin d’aider les ménages français à opérer la transition énergétique de leur logement, le gouvernement à mis en place des aides financières importantes.
- Ma Prime Rénov’. Ce dispositif remplace depuis le 1er janvier 2020 le Crédit d’Impôts pour la Transition Énergétique (CITE). Cette aide s’attribue selon les conditions de ressources, à tous les propriétaires occupants ou bailleurs, mais aussi aux copropriétés. Le montant peut s’élever jusqu’à 4 000 € pour l’installation d’une pompe à chaleur air/eau. Pour en savoir plus sur Ma Prime Rénov’, visitez la plateforme dédiée maprimerenov.gouv.fr.
- Les Certificats d’Économie d’Énergie (CEE). Cette aide est versée par les fournisseurs d’énergie à tous les ménages qui en font la demande, sans condition de ressources. Le montant est fonction des travaux réalisés et des améliorations énergétiques qu’ils apportent. Certains fournisseurs d’énergie proposent un coup de pouce supplémentaire. Cette aide complémentaire est à hauteur de 2 500 € pour les ménages modestes et de 4 000 € pour les ménages très modestes.
- L’éco-prêt à taux zéro (l’éco-PTZ). Ce prêt permet de financer les travaux plus facilement. Plafonné à 30 000 €, il est remboursable sous 15 ans.